Dans les profondeurs d’Into the little hill de Benjamin à l’At...
Laurent VilaremNous sommes en 2006. George Benjamin occupe une place paradoxale dans le concert d’aujourd’hui. Génie précoce (son professeur Olivier Messiaen disait de lui qu’il serait « le prochain Mozart »), le compositeur anglais écrit de belles pièces instrumentales et orchestrales mais ne réalise pas tout à fait les promesses que le milieu place en lui. Tout change avec la création à...
publié le
13 avril 2019