Olivier Py fait revivre La Juive à l’Opéra de Lyon
Albina BelabiodOn pourrait lui reprocher d’en faire trop. Trop de noir, trop de mouvement, trop de souffre, trop de symboles, trop de messages politiques… De trop faire du Olivier Py, en somme. Mais ce serait nier la redoutable efficacité de cette esthétique du mouvement et de l’outrenoir que le metteur en scène et son acolyte décorateur Pierre-André Weitz développent de production en production, depuis leurs débuts à...
publié le
17 mars 2016