Un sympathique Gianni Schicchi à l'Opéra de Montpellier
Laurent VilaremOn avait remarqué dans le premier spectacle mis en scène par Marie-Eve Signeyrole à l'Opéra de Montpellier (Royal Palace / Il Tabarro) une tendance à la surcharge scénographique. On retrouve dans le deuxième volet de ce Triptyque de Puccini le même écueil, malgré un contexte dramatique plus léger. Car l'oeil est régulièrement distrait par la profusion d'informations sur la scène....
publié le
13 juin 2017