Juan Diego Flórez, le bienheureux à la Philharmonie de Paris
Thibault VicqJuan Diego Flórez a raison de sourire à pleines dents : sa carrière triomphante reste au beau fixe. Après avoir rendu son nom indissociable des interprétations de Rossini et Donizetti, il consacre un nouveau disque à Verdi, dont il avait jusqu’à alors uniquement enregistré Rigoletto à Dresde en 2008, et gravé la Messa solenne en 2010. Il y a tout pile quatre ans, le ténor péruvien...
publié le
20 novembre 2019