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Albina Belabiod

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Belabiod

Albina

France

Chroniqueur depuis le 24 mars 2014

Votre compositeur préféré ? Mozart, Wagner, Schubert et Haendel.

Votre œuvre classique préférée ? "Les Noces de Figaro", de Mozart.

Votre devise ? Je l'ai empruntée à Karajan : "Ceux qui ont atteint tous leurs buts les avaient sans doute placés trop bas".

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Toutes ses chroniques .28

Cosi fan tutte à Londres : ainsi font les Anglais

Albina Belabiod

Premiers accords de l’ouverture, le lourd rideau de velours rouge de la Royal Opera House laisse passer six personnages issus d’une représentation en costumes d’époque d’un Cosi fan tutte qui viendrait de s’achever. Sous les rires du public, les chanteurs viennent saluer, imitent les révérences grandiloquentes, et autres mains sur le cœur faussement humbles de nos divas et divos favoris. Le ton est donné, dans la...


Don Giovanni prend le dernier métro, au départ de Versailles

Albina Belabiod

En coproduction avec l’Opéra de Rouen, dont le metteur en scène Frédéric Roels est l’heureux directeur, l’Opéra de Versailles propose, quelques semaines après des Noces de Figaro très classiques, un Don Giovanni original, plus jouisseur opportuniste que véritable transgresseur. Tout commence par la mort du Commandeur – interprété par Patrick Bolleire, une basse aux belles sonorités...


Olivier Py fait revivre La Juive à l’Opéra de Lyon

Albina Belabiod

On pourrait lui reprocher d’en faire trop. Trop de noir, trop de mouvement, trop de souffre, trop de symboles, trop de messages politiques… De trop faire du Olivier Py, en somme. Mais ce serait nier la redoutable efficacité de cette esthétique du mouvement et de l’outrenoir que le metteur en scène et son acolyte décorateur Pierre-André Weitz développent de production en production, depuis leurs débuts à...