Fausto, de Louise Bertin, banale redécouverte du Palazzetto Br...
Thibault VicqQue nous reste-t-il après les deux heures de musique de Fausto, de Louise Bertin ? À vrai dire, nous sommes tentés de répondre « rien », comme le premier mot prononcé dans le Faust de Gounod. Non pas que la compositrice n’ait pas de talent avéré d’orchestratrice, mais le « trop » et le « pas assez » jouent sans cesse à saute-mouton dans une œuvre qui...