George Benjamin, les émotions fortes de l’opéra contemporain
Le purgatoire de l’opéra contemporain est bel et bien fini : elle est loin, l’époque où les maisons d’opéra ne programmaient des créations que par devoir, comme une sorte d’obligation culturelle qui les dédouanait de programmer le reste du temps toujours la même chose. Non seulement on trouve toujours autant de créations, non seulement les œuvres ne sont plus promises à l’oubli...
Publié le06 mai