Chroniques liées à Amartuvshin Enkhbat

Un Andrea Chénier cinq étoiles à l'Opéra national de Lyon

Elodie Martinez

Mercredi soir, l’Opéra national de Lyon donnait son traditionnel opéra en version de concert en partenariat avec le Théâtre des Champs-Elysées. Cette année, le choix s’est porté sur Andrea Chénier d’Umberto Giordano. Bien que l’œuvre ne soit peut-être pas la plus indiquée pour une version concertante, avec ces nombreux personnages et ces actions décrites parfois rapprochées,...


Le point de vue d’Alain Duault : Jonas Kaufmann, Sonya Yonchev...

Alain Duault

Andrea Chenier, le chef-d’œuvre d’Umberto Giordano, est un des opéras caractéristiques du « vérisme », ce mouvement qui, à la fin du XIXème siècle, de Mascagni (Cavalleria Rusticana) à Leoncavallo (Paillasses), Cilea (Adrienne Lecouvreur) ou Puccini (Tosca), a voulu transposer dans la musique le naturalisme d’écrivains comme Zola en France ou Giovanni Verga en Italie. Mais on ne...


Inaltérable Gregory Kunde dans La Forza del destino au Festiva...

Emmanuel Andrieu

S’il n’y avait qu’un moment à retenir de cette soirée au Teatro Regio de Parme mettant à l’affiche La Forza del destino de Giuseppe Verdi dans le cadre du Festival consacré à l’illustre compositeur italien, c’est l’extraordinaire leçon de chant délivrée par Gregory Kunde dans sa longue romance du III « O tu che in seno agli angeli », suivie par trente secondes...


Amartuvshin Enkhbat capte (à nouveau) la lumière dans Nabucco ...

Emmanuel Andrieu

En coproduction avec le Washington National Opera, le Minnesota Opera et l’Opéra de Philadelphie, ce Nabucco imaginé par l’américain Thaddeus Strassberger finit par atteindre la terre ibérique, au magnifique Palau de Les Arts de Valencia (où nous étions déja venu, au printemps dernier, écouter Leo Nucci dans Rigoletto). Disons d’emblée que ce n’est pas ce qu’on y aura vu de mieux, car l’homme...