Chroniques liées à Elsa Dreisig

Chronique d'album : "Mo3art", d'Elsa Dreisig

Elodie Martinez

Après un premier disque en 2018, Elsa Dreisig proposera dès le 28 janvier prochain – toujours chez Erato – un nouvel enregistrement intitulé Mo3art qui présente d’une part les trois opéras que le compositeur a signé avec le librettiste Da Ponte, et d’autre part trois de ses opere serie. La soprano y est accompagnée du Kammerorchester Basel placé sous la direction de Louis Langrée. Il est vrai que,...


Elsa Dreisig force l'admiration dans Anna Bolena au Grand-Théâ...

Emmanuel Andrieu

Le jour même de cette première d’Anna Bolena de Donizetti au Grand-Théâtre de Genève, l’on apprenait que le maître des lieux, Aviel Cahn, était reconduit pour cinq années à la tête de l’institution helvète (jusqu’en 2029). La suite de la Trilogie Tudor est déjà programmée, et c’est ainsi que l’on pourra entendre in loco Maria Stuarda en 2022 et Roberto Devereux...


Streaming : la Staatsoper de Berlin clôt le printemps en un bo...

Thibault Vicq

Le temps de l’été est venu pour reprendre des couleurs et redécouvrir celles des fauteuils des institutions lyriques. Le Grand Théâtre de Genève a rouvert au public (sur invitation) avec un remarquable récital de Sabine Devieilhe et le Théâtre Mariinsky de Saint-Pétersbourg a pu inaugurer ce week-end un Festival des Nuits blanches initialement compromis, avec un gala d’opéra sous la baguette de son...


Elsa Dreisig et Jonathan Ware, ou la moisson des lendemains, a...

Thibault Vicq

Miroir(s), le premier album d’Elsa Dreisig avec Michael Schønwandt et l’Orchestre national Montpellier Occitanie, sondait les doubles et les correspondances entre personnages du répertoire opératique. Son second opus Morgen, aux côtés du pianiste Jonathan Ware, agence des passerelles aussi bien musicales que thématiques entre des mélodies de Duparc, les Quatre derniers lieder de Strauss et les Six Romances op. 38 de...


Une Manon tiède à l’Opernhaus Zürich

Thibault Vicq

Et si Manon, de Jules Massenet, était une histoire de narcissisme ? Ou bien juste une histoire de goût pour les belles choses ? Dans une nouvelle production de l’Opernhaus Zürich, Floris Visser centre sa mise en scène autour de la représentation mentale du personnage principal… dans les intentions, du moins, car on ne peut pas en dire autant du résultat, où rien ni personne ne convainc totalement. Piotr Beczala...