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Un bouleversant Elijah de Mendelssohn à Monte-Carlo

Emmanuel Andrieu

Créé au Festival de Birmingham en août 1847, soit deux mois et demi avant la mort de son auteur, l’oratorio Elijah de Felix Mendelssohn est une œuvre grandiose en ses dimensions – et convaincante en son écriture –, mais qui ne jouit malheureusement d’une grande popularité que dans les pays anglo-saxons (il existe également une version allemande de l’ouvrage…). L’on ne peut donc que saluer...


Chronique d'album : Facce d'amore, de Jakub Józef Orliński

Elodie Martinez

Un an après la sortie de son premier disque Anima sacra qui nous avait alors conquis, le jeune contre-ténor Jakub Józef Orliński propose un second opus, Facce d’amore, qui paraîtra chez Erato ce 8 novembre. Face au succès de l’équipe formée pour son premier enregistrement, il s’entoure de la même équipe pour ce nouveau disque, articulé cette fois autour du thème, non plus du sacré, mais de...


I Puritani de Bellini mettent le feu à l'Opéra de Marseille

Emmanuel Andrieu

Moins de trois semaines après le grand succès remporté, ici-même à l'Opéra de Marseille, par La Reine de Saba, grand-opéra orientaliste de Charles Gounod, c’est un spectaculaire triomphe qui a couronné Les Puritains de Vincenzo Bellini (également donnés sous format concertant), grâce à une équipe vocale de haute volée et à la direction fiévreuse et haletante de Giuliano...


Chronique d'album : Vivaldi, de Lea Desandre et Jupiter

Elodie Martinez

Le 25 octobre dernier sortait chez Alpha Classics le nouveau disque de Lea Desandre que nous avions déjà beaucoup appréciée dans Berenice, che fai ? et Italian cantatas. Cette fois-ci, elle embarque auprès de Jupiter, jeune ensemble fondé par le luthiste Thomas Dunford et composé d’une dizaine de musiciens dont Jean Rondeau pour le clavecin, le but étant de « retrouver l’esprit de la musique de chambre dans...


Un Requiem de Mozart en panne de mysticisme à Montpellier

Emmanuel Andrieu

Que n’a-t-on dit et écrit au sujet du Requiem de Wolfgang Amadeus Mozart ? Bien que la légende l’a souvent emporté sur la réalité, on sait que la commande provient du Comte von Walsegg-Stuppach, musicien raté qui avait pour habitude de faire passer les œuvres des autres pour les siennes propres, à la mémoire de sa femme défunte –décédée en 1791, quelques mois avant Mozart... On...


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