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Carmen et ses fantômes à l’Opéra-Comique
Thibault VicqL’Opéra-Comique n’a pas attendu que fleurissent les labels « bio », « production locale », « sans gluten », « cruelty-free » ou « woman-owned » pour avoir le sien dès 1875 : c’est bien Carmen qui tient la baraque. Déjà pour avoir décoincé (non sans hauts cris) le « théâtre des familles et...
We are eternal, l’hommage poussif d’Opera Fuoco à Lorenzo Da P...
Thibault VicqRéussir à monter Les Noces de Figaro, Don Giovanni et Così fan tutte relève déjà de l’hommage à leur librettiste Lorenzo Da Ponte, dont la vie alla James Bond (entre Venise, Vienne, Paris, Londres et New York) méritait bien un spectacle à lui tout seul. Sauf que pour raconter une histoire captivante, il faut un tant soit peu « manipuler » le spectateur avec des éléments interactifs....
Une Iphigénie en Tauride à la fois universelle et personnelle ...
Elodie MartinezHier se tenait la première de la nouvelle production d’Iphigénie en Tauride à l’Opéra de Montpellier, dans une mise en scène signée par Rafael R. Villalobos destinée à voyager ensuite à Gand et Séville. Après son Barbier de Séville et sa Tosca – qui avait alors fait couler beaucoup d’encre –, le jeune metteur en scène poursuit son exploration du...
La mue d’Elena Moșuc en Adrienne Lecouveur à Liège
Paul FourierLa soprano fait sa prise de rôle à l'Opéra Royal de Wallonie dans une mise en scène d’un classicisme efficace. Elle délivre une interprétation personnelle et émouvante. Adriana Lecouvreur est une œuvre singulière ; l’une des rares œuvres de Francesco Cilea qui soit restée dans la postérité, offrant un rôle en or aux plus grandes chanteuses qui voulurent laisser...
Luisa Miller à Angers Nantes Opéra : la force de la musique, l...
Thibault VicqAprès le Theater Erfurt, le Grand Théâtre d’Angers et l’Opéra de Rennes, cette Luisa Miller investit le Théâtre Graslin de Nantes. Sans extravagance, dans les frontières du drame bourgeois, la mise en scène de Guy Montavon (reprise par Jean-François Martin) enserre les sentiments dans des espaces clos, dénués d’issue. Les portes se ferment au même titre que les univers sociaux ne peuvent...
Salzbourg : des débuts ambivalents pour Tannhäuser au Festival...
La RédactionDès l’ouverture, des jeunes filles aux seins nus, telles des amazones, décochent une pluie de flèches dans l’image d’un œil gigantesque. Puis des pèlerins portant un énorme morceau d'or ; les rituels d'un groupe d'hommes dont certains sont habillés en moines bouddhistes. Un cerf mort et des chevaliers qui s'enduisent le visage de son sang ; des reproductions de pieds humains qui traînent ; des...