Chroniques liées à Gianluca Capuano

La Clémence de Titus au Festival de Pentecôte de Salzbourg : l...

La Rédaction

Pouvoir, oppression, intrigues et violence : personne ne s'attendait à ce que le choix de l’œuvre soit à ce point d'actualité. Le Premier ministre slovaque vient d’être victime d’une tentative d’attentat qui a mis sa vie en danger et les attaques contre les hommes politiques se multiplient. C'est précisément le sujet de La Clémence de Titus. L’opéra de Wolfgang Amadeus Mozart se...


Alcina inaugure le premier mandat de Cecilia Bartoli à l'Opéra...

Emmanuel Andrieu

Annoncée en fanfare en décembre 2019, la succession de Jean-Louis Grinda par Cecilia Bartoli à la tête de l’Opéra de Monte-Carlo avait fait grand bruit dans la sphère lyrique à l’époque. C’est néanmoins seulement en septembre dernier que la célèbre cantatrice a dévoilé sa première (demi) saison 2023, en attendant de reprendre un calendrier 2023/2024 « normal »...


La Clémence de Titus emplit la Philharmonie de Paris

Thibault Vicq

À la grand-messe automnale annuelle de Cecilia Bartoli à la Philharmonie de Paris, le public afflue toujours en masse. Le concert de cette saison était annoncé comme un récital Mozart de la mezzo romaine avec les fidèles Musiciens du Prince-Monaco et Gianluca Capuano, jusqu’à ce que l’intitulé se transforme maladroitement il y a quelques semaines en « Cecilia Bartoli / Mozart - La Clémence de...


Marie Lys triomphe dans Alcina en remplaçant Cecilia Bartoli a...

Emmanuel Andrieu

Annoncée souffrante lors de la première représentation de cette production d’Alcina au Teatro del Maggio musicale fiorentino où elle incarnait le rôle-titre, Cecilia Bartoli a dû jeter l’éponge le jour de la seconde représentation du 20 octobre. Le surintendant de la maison florentine Alexander Pereira lui a néanmoins trouvé in extremis une remplaçante en la personne de Marie Lys qui...


Le point de vue d’Alain Duault : À Salzbourg, un Barbier de Sé...

Alain Duault

On peut se dire que le public a toujours raison – et, dans ce cas, la tornade d’applaudissements du public à l’issue de ce Barbier de Séville amphétaminé pare à toute critique. On peut aussi penser que cet opéra, fut-il comme le voulait Rossini un joyeux divertissement, est un tissu de rires et de poésie, de mélancolie et de légèreté joueuse – et, dans ce cas, le festival de gags...