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Innocence, une vraie tragédie contemporaine
Alain DuaultÀ Aix-en-Provence, la création a régulièrement droit de cité : c’est aussi le rôle d’un festival qui, à la différence d’un théâtre de répertoire, peut oser, prendre des risques, inventer des formes pour rendre compte de notre monde et tenter de l’élucider à travers l’art. De ce point de vue, l’édition 2021 sera marquée d’une pierre blanche...
Tristan et Isolde au Festival d'Aix-en-Provence, l’amour aujou...
Alain DuaultIl y a, heureusement, plusieurs manières de donner à voir une œuvre, surtout quand elle a acquis le statut d’un mythe qui, par essence, n’a pas à être muséifié mais bien toujours réinterrogé pour s’inscrire dans un univers qui nous parle de notre aujourd’hui. Mais il n’y a qu’une seule manière de donner à entendre une œuvre, l’excellence. La nouvelle production de...
Samson et Dalila aux Chorégies d'Orange, l’évidence du métier
Alain DuaultÀ force de chercher le génie, la nouveauté, l’original, on a souvent ces dernières années oublié l’évidence du métier qui, seul, peut révéler (au sens photographique) les œuvres qu’on donne à voir et à entendre. J’ai parlé ici même (à propos de certaines Noces aixoises…) de ce narcissisme un peu fatigant. Je suis d’autant plus heureux de saluer,...
Des Noces sans amour au Festival d'Aix-en-Provence
Alain DuaultOn sait que le Festival d’Aix s’est construit sur Mozart, sur l’amour de Mozart, sur la volonté de sa reviviscence. On se réjouissait donc de retrouver Les Noces de Figaro, ce chef-d’œuvre qui porte un esprit, une élégance, une vie, tout ce dont on a besoin en ce moment. Hélas, dans cette production signée de la néerlandaise Lotte de Beer (dont la vacuité de l’Aïda à l’Opéra...
Falstaff au Festival d'Aix-en-Provence, un divertissement de b...
Alain DuaultOn est si heureux de retrouver la cour de l’Archevêché, d’y retrouver des spectateurs, des chanteurs, un orchestre, une scène, un spectacle, qu’on est plein de bienveillance pour ce Falstaff qui fait plaisir à voir et à entendre. Est-ce à dire que la soirée est à marquer d’une pierre blanche ? Sans doute pas mais elle fait pourtant passer un bon moment. Traité comme une métaphore...
Récit de concert : Jakub Jozef Orlinski à la Galerie des Glace...
Gisèle ChaboudezVous arrivez à la Galerie des Glaces après avoir été préparé en douceur par une musique qui vous suit dans les Jardins de Versailles, dans la grande Allée Royale jusqu’aux chevaux qui bondissent en émergeant à peine de l’eau dans un mouvement incomparable. Vous êtes déjà baigné de musique, parfois belle et émouvante, et savez que vous y serez bientôt plongé, car...