Chroniques liées à Leonardo García Alarcón

La Passion selon saint Jean de Sasha Waltz arrive au Théâtre d...

Thibault Vicq

Aux débats d’arrière-garde sur le « droit » ou non de mettre en scène des oratorios, en particulier les Passions de Bach, on a désormais (et heureusement) tourné le dos. Non seulement parce qu’on a vu que cette démarche pouvait être couronnée de succès – la Johannes-Passion par Peter Sellars, ou celle par Calixto Bieito –, mais aussi car ces œuvres ont toujours...


Opus infinitum à Ambronay : quand Leonardo García Alarcón fait...

Elodie Martinez

Samedi, après le concert secret de La Néréide, le festival d'Ambronay accueillait un habitué des lieux – grâce auquel nous avions justement découvert Julie Roset quelques années plus tôt cette même abbaye – à savoir Leonardo García Alarcón. Pour cette édition 2024, le maestro offrait au public Opus infinitum, un pastiche unissant Haendel et Bach pour un savoureux dialogue entre ces deux...


Au Grand Théâtre de Genève, Idoménée de Mozart tisse en rouge ...

Thibault Vicq

Dans Idoménée, quelque chose de tapi se tient prêt, attend le bon moment, pour frapper, pour révéler le passé, pour mettre les personnages devant le fait accompli. Le Destin, les dieux ? Pas seulement. Le troisième opera seria de Mozart est gorgé du poids de la guerre de Troie et traîne ses vaincus, fait état d’un nouvel échiquier politique, tait les arrangements d’un roi tout en le perçant...


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Acis et Galatée hors des murs de la Cité Bleue : métamorphose ...

Elodie Martinez

Dimanche, suite à l’annonce de la saison inaugurale de la Cité Bleue, Leonardo García Alarcón dirigeait Acis et Galatée de Haendel, dans un arrangement de Mozart. L’œuvre était donnée en version de concert, et marquait l’ultime rendez-vous hors les murs de la Cité Bleue, avant que celle-ci ne retrouve ses murs fraîchement remis à neuf, ainsi qu’une acoustique que l’on dépeint...