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Le point de vue d’Alain Duault : Une Force du Destin presque p...

Alain Duault

La production de cette Force du Destin, un des plus riches opéras de la maturité de Verdi, est quasi exemplaire à l’Opéra Bastille. Dépouillé dans ses éléments décoratifs signifiants (une vaste table qui sert à différentes actions, une immense statue du Christ surplombant l’action ou jetée au sol, crucifix sans croix, simplement un homme supplicié symbolisant la douleur de tous les...


Maxime Pascal et Le Balcon sauvent La Petite Boutique des horr...

Thibault Vicq

Quand certaines maisons d’opéra optent pour La Flûte enchantée, Hansel et Gretel, Offenbach ou autres opérettes pour les Fêtes, l’Opéra-Comique – désormais avec un trait d’union – innove, avec une désinvolture bienvenue, en proposant au public une plante avide de chair humaine dans la comédie musicale La Petite Boutique des horreurs (en coproduction avec l’Opéra de Dijon) ! Seymour...


The Hours, une création d’interprètes au Metropolitan Opera

Thibault Vicq

Le titre The Hours peut rappeler aux cinéphiles le fim de Stephen Daldry (2002) avec Nicole Kidman, Julianne Moore et Meryl Streep. Bonne piste, car il est tiré du même roman de Michael Cunningham (1998, traduit en français en 1999). Le Metropolitan Opera le présente en création scénique – la première mondiale s’est tenue en version de concert avec le Philadelphia Orchestra en mai – avec un splendide trio de...


À l’Opéra national du Rhin, Johanny Bert décortique pertinemme...

Thibault Vicq

Bien que le remplissage des salles soit un indicateur bien connu de La Flûte enchantée, la question de la mise en scène est une autre paire de manches. Une maison d’opéra peut-elle se permettre de sacrifier le côté « adulte » en proposant une version « familiale », ou au contraire pousser loin le curseur de la relecture en conservant l’universalité de l’œuvre ?...


Le cauchemar éveillé de Barrie Kosky pour Turandot à l'Opéra d...

Paul Fourier

Si la relecture de l’opéra de Puccini par le metteur en scène d’origine australienne est radicale, elle est aussi passionnante. Elle s’appuie sur la direction somptueuse de Lorenzo Viotti et une distribution dominée par une (pourtant invisible) Tamara Wilson et la Liu de Juliana Grigoryan. Voir Turandot comme une hallucination, en grande partie horrifique où la Princesse de glace n’existe peut-être pas, mais incarne des...


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