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Le triomphe de Giuliana Gianfaldoni dans Beatrice di Tenda de ...

Emmanuel Andrieu

Pour sa 48ème édition, le Festival Internazionale della Valle d’Itria n’a pas été épargné par la septième vague de Covid. Fabio Luisi, directeur musical de la manifestation apulienne, a ainsi dû laisser la place au jeune et sémillant chef italien Michele Spotti (récemment interviewé dans ces colonnes) qui a eu moins d’une semaine pour apprendre la partition de l’avant dernier...


Un Requiem de Mozart magnifié par Sir Simon Rattle au Verbier ...

Thibault Vicq

Les coups de théâtre ne manquent jamais, chaque été au Verbier Festival. Il y a les changements de programme, comme ce soir la transformation du concerto pour piano de Mozart initialement prévu pour la première partie, en Concerto de Schumann, ainsi que la suppression de l’Ave verum corpus. Le cœur du concert demeure cependant le Requiem de Mozart, inchangé. Il y a aussi les (luxueux) remplacements d’artistes : et...


Le point de vue d’Alain Duault : un Moïse et Pharaon politique...

Alain Duault

On attendait beaucoup de ce Moïse et Pharaon, opéra peu joué de la fin de la carrière lyrique de Rossini, créé en 1827, deux ans avant son ultime Guillaume Tell. Adapté pour Paris de son Mosè in Egitto créé neuf ans plus tôt au San Carlo de Naples, c’est un ouvrage un peu hybride. Est-ce un opéra politique ou un oratorio ? Est-ce l’histoire d’un peuple ou l’histoire de personnages...


Création de Woman at Point Zero au Festival d’Aix-en-Provence ...

Thibault Vicq

Dès son arrivée à la tête du Festival d’Aix-en-Provence en 2019, Pierre Audi a tenu à redonner une place à l’Orient dans sa programmation. Les Mille Endormis tendait le micro à Israël et à la Palestine, tandis que L'Apocalypse arabe vu l’année dernière s’intéressait au sort historique du Liban. Woman at Point Zero, en création mondiale au Pavillon Noir, nous plonge en...


Résurrection au Festival d’Aix-en-Provence : voir pour entendre

Thibault Vicq

Dans les spectacles de Romeo Castellucci, l’organique et le rituel jouent à saute-mouton à travers des images indélébiles et des gestes qui placent le regard sous un autre jour. Il aime d’ailleurs recourir à des lieux abandonnés pour questionner l’usage et l’acte du regard : après Le Sacre du printemps à la Ruhrtriennale en 2014, La Vita Nuova en 2018 pour la préouverture de KANAL - Centre Pompidou...


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